Você està minha Musa, estou inspirada.
Muse sais-tu sûrement combien je t’aime, mais à quel point ? Connais-tu mes envies aussi bien que mes désirs ? Il m’arrive parfois de me demander si je ne suis pas folle. Me demander pourquoi je lutte contre "l’autre en moi". Et puis je ne fais que me dire que c’est parce que c’est comme ça.
Contrairement à la chanson je crois que Felicidade nao tem fim (le bonheur n’a pas de fin). Parce qu’au final le rire remplace les larmes. Je suis plutôt fatiguée. Ce week-end est passé en une heure. Lundi me dit déjà bonjour. Une fois qu’il sera passé, je pense ma semaine plutôt bonne.
J’ai terminé le premier chapitre de mon histoire et j’ai entamé le deuxième. J’aurais voulu finir ce dernier en une semaine. Camille m’aidera-t-elle, ou Muse m’inspira-t-il ?
Tout ce que je sais c’est que j’aime écrire. Vivre pour moi c’est vivre dans les mots et dans les sensations. Dans l’amour aussi. Le sien. Lui que j’aime tant…
J’ai dans le manuel de philo une interview très intéressante d’un philosophe dont j’oublie le nom. Il a dit : "Regarder son amour comme une oeuvre d’art c’est s’en émerveiller sans cesse."
Ainsi Muse, ne me lasserai-je donc jamais de toi…