Presque comme un réflexe. Ce matin je me suis réveillée et j’étais heureuse. Et puis subitement j’ai eu envie de pleurer par rapport à quelque chose ou plutôt à quelqu’un… Bref, je suis allée prier ( d’ailleurs je vous parlerai de ma manière particulière de prier dans un autre écrit). Peu de temps après j’ai senti les larmes monter avec plus d’intensité, il arrive parfois qu’on essaie de s’auto-motiver mais cela ne suffit pas. Alors je me suis dit que j’allais écrire. Et pour le moment je n’ai versé aucunes larmes.

Les mots ont toujours été là pour moi, me rendant heureuse et me réconfortant, même quand j’ai l’impression de saigner en écrivant.

Ecrire, prier, chanter, danser, lire, tout cela peut faire office de thérapie. Une thérapie qui nous éloigne de ce qui nous fait le plus mal, ou alors qui nous permet de l’exprimer plus en profondeur.
L’écrit précédent faisait référence au fait qu’il ne faut laisser personne nous rendre malheureux. Malheureusement dans cette vie il y aura toujours des gens pour nous faire du mal, que ce soit volontairement ou involontairement. Mais comme je l’ai dit il y longtemps de cela à une amie, dans malheureusement il y a heureusement. On tire des leçons du mal que les gens nous font. On devient plus fort, moins sensible, comme de la roche. Elle s’effrite parfois, mais elle reste forte.

Force. Courage. Amour. Paix.
Soyons fort.