Farewell
C’est sûrement parce que je ne me suis jamais sentie bien nul part que j’en viens à me demander si je ne devrais pas, après tout, me complaire dans ma solitude. J’ai toujours aimé être seule. Je le suis toujours. Je n’ai pas besoin de sangsues. Je te dis adieu, cher journal, tu auras partagé mes peines comme mes joies.
Au revoir.