Lorsqu'on a cette envie irrémédiable de pleurer il faut sourire ou, encore mieux, écrire!
C’est le Spleen. Subitement tout devient gris. Vous avez mal. Vous en avez marre. Vous voulez pleurer. Et comme je l’ai dit hier à ma sœur de Solitude, on fait parfois exprès d’être dans cet état. On passe son temps à s’apitoyer sur son sort, à souffrir, à pleurer parce qu’inconsciemment on le veut. Parce que, visiblement, nous pensons que c’est plus facile d’être triste que d’être heureux. Mais on se donne trop d’excuses. On se laisse aller et une fois qu’on est dans le tourbillon infernal, il est difficile d’en sortir.
Mais pas impossible. Il faut savoir être déterminé. Tenace. Prêt à tout. Il faut savoir lutter contre ses moments d’apnées, ses émotions qui nous traversent mais qui en fait ne sont que passagers.
Il y a quelques minutes à peine je ne me sentais pas bien. Et maintenant ça va déjà mieux. Comme quoi, écrire est une thérapie.
La tristesse, la solitude, la colère ne sont que des états passagers.