CPGE n'est pas synonyme de mort sociale
Trois heures d’un speech interminable, qui m’a rappelé que je devrais prendre des vitamines pour tenir le coup, peuvent se résumer simplement : la cpge demande beaucoup de travail. Rien n’est facile dans la vie… mais rien n’est impossible. J’attendrai de voir ce que ça donne. En attendant être confrontée à ce petit monde m’a ouvert les yeux sur ce que je veux vraiment dans l’avenir : passer mon CAPES et devenir professeur.
Pour ce qui est de l’avenir avec Muse c’est autre chose.
Je ne crains pas l’avenir. Je le sublime.