C’est dans ces moments là que je me rends compte que mes petits problèmes, mes petites contrariétés, ne sont rien du tout comparés à d’autres, et qu’elles m’empêchent de vivre et d’être heureuse. Arrêtons de se languir et vivons. Respirons à pleins poumons. Profondément. Soyons heureux, tant qu’il est temps, tant qu’on a encore l’envie.
Je sais, je radote...
Mais s’en est ainsi. Heureuse un jour, malheureuse l’autre. Et puis c’est quoi être malheureuse ? J’ai aucunes raisons de l’être. Je me sens bien. Je suis nappy. Je le vaut bien.

Elle est venue me voir hier. Et elle m’a parlé de lui. Mon cœur n’a pas bondit. J’étais juste agréablement surprise qu’il pense à moi et qu’il veuille me contacter même si c’est compliqué. Je l’apprécie énormément et ça s’arrête là. J’n’ai pas envie de retourner en arrière. Même si le passé finit toujours par nous rattraper.

Deux mois. Petit délai pour profiter à fond. Ils arrivent tous. J’ai envie de les voir. J’ai envie de partager plein de choses. Je sens que pendant ces vacances il va s''en passer des choses. J’ai hâte. Hâte bordel.

Félicitation aux bacheliers. Ce soir c’est champagne !