Méli-mélo de feelings ou Comment écrire avec une odeur pestilentielle provenant de la poubelle?
C’est un problème qu’elle doit régler. Laisser libre cours à son inspiration, quel que soit le moment où il se déclenche. C’est tellement bon, parfois. Et ce plaisir ne vient que lors des moments de total inconscience.
J’ai eu l’impression qu’elle était déçue de moi, la première de la classe dans cette matière. C’est la première fois que ça m’arrive. Pas que je déçois qui que ce soit, c’est déjà fait, mais que je sois prise en exemple dans le mauvais sens.
Elle m’énerve toujours autant. J’ai envie de la baffer, parfois. Qu’elle preuve de stupidité et d’illogisme humaine. Ok, j’arrête…
Ceci n’est pas raciste mais une personne blanche ne pourra jamais ressentir ce qu’un Noir ressent. Descendant d’esclave ou pas. Ce qui me fait encore plus de peine encore, c’est l’hypocrisie dont fait preuve certains Noirs. Au moins elle le dit ouvertement. Elle veut un mec métisse, chabin, mulâtre, blanc, la couleur la plus claire possible, elle veut un gosse métisse. Comme si elle ne voulait pas que son rejeton soit de la même couleur qu’elle. Peut-être pense-t-elle qu’être noir c’est ne pas être beau. Mais ça c’est à son échelle.
L’esclavage est bien fini et pourtant le racisme existe toujours. Je ne parle pas de relation blanc-noir, mais comment le noir se voit lui et comment il continue à se dénigrer et à réfléchir sur ce qu’on lui a dit. Le bourrage de crâne s’est transmis de génération en génération. Et le noir se juge lui-même. Pseudos complexes.